Isabella Miltorpe Vampire
♣Messages : 20 ♣Copyright © : Mushu ♣Date d'inscription : 29/05/2011
| Sujet: Le vol, la manipulation sont à votre service par Isabella Miltorpe! Dim 29 Mai - 14:32 | |
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Mushu
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WHO ARE YOU ?
Surnom: Isy Age: 501ans mais 26 d'apparence Profession/Etude: Ancienne Pirate Lieu et date de naissance: En France dans la ville actuellement appelée Rennes en 1508 Groupe: Vampire Personnage inventé [x] – Scénario [] – Prédéfini []
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WHAT DO YOU LOOK LIKE ?
PHYSIQUE: Comme les femmes peu riches de son époque, elle portait des robes simples et deux tissus pauvre. Par sa taille assez grande et fine, elle était considérée comme une très belle femme qui faisait tourner beaucoup de regard masculin, et même parfois, féminin ! Ses couleurs favorites étaient les pastelles, ses robes étaient de ces couleurs, ce qui plaisait à son entourage qui trouvait, qu’elle avait la beauté de sa mère.
Par la suite, étant pirate, elle dit à dieu à ses robes pour s’habiller de pantalon et de tricorne. Elle n’en perdit pas sa féminité, d’ailleurs, son capitaine s’était noyé dans ses yeux bruns profonds, aussi profond que les abysses sombres des océans. Seule femme de l’équipage, elle ne passait pas inaperçu avec ses longs cheveux châtains qui attiraient de nombreux matelots sous ses crocs.
Aujourd’hui, n’étant plus pirates et ayant quitté son navire. Elle apprécie se vêtir de façon discrète le jour pour pouvoir passer inaperçu et repérer la proie qui tombera dans ses filets le soir. Lorsqu’il s’agit de la chasse, elle apprécie s’habiller de façon provocante pour attirer le regard des jeunes hommes assez naïfs qu’elle aurait vu dans la journée. Une fois la proie dans une ruelle sombre, les mini-jupes d’Isabella sont souvent couvert de sang… On pourrait la croire sortie du dernier bal déguisé d’halloween, c’est que pour son âge, elle ne sait toujours pas manger proprement !
WHO I REALLY AM
CARACTÈRE: Isabella dite Isy était une jeune fille possédant une grande générosité, elle partageait tout avec ses proches et leur vouait une véritable fidélité. Aimante et aimée par ses parents, elle faisait leur plaisir en souriant et en étant heureuse. Mais à la mort de sa mère causée par la suette, Isabella jeune enfant au grand sourire devint triste et avait perdu goût à la vie. Par la suite, le mariage de son père avec sa belle mère, la changea entièrement. Elle devint presque méchante et cruelle envers cette femme qui avait pris possession de son géniteur. Elle devint rancunière et cessait de s’amuser avec les enfants de son âge.
Lorsqu’elle devint une belle jeune femme, son caractère ne changea pas. Elle portait une haine irréversible envers sa belle-mère, songeant à plusieurs reprises au pire des actes : le meurtre. Pourtant, elle ne s’exécuta jamais, elle aimait toujours son père et pensait qu’à son bonheur. Elle était cruelle mais pas envers les personnes qu’elle aimait. Il était donc préférable d’être de son côté plutôt que contre elle. Intelligente, elle pouvait mettre toutes ses idées à exécution pour ses vengeances sans jamais se faire prendre et son courage, lui permettait de faire ce qu’elle voulait sans jamais frémir ! Et son rêve de s’échapper pour voir le nouveau monde lui donnait presque des ailes !
Après sa transformation, ces traits de caractères les plus forts se décuplèrent. Sa rancœur devint presque mortelle, sa cruauté devint sadisme et son courage devint de la témérité. Pirate sans cœur, elle pouvait tuer ses victimes sans remord ! Et plus les victimes étaient nombreuses plus elle était contente. Mais elle cherchait tout de même, à se faire bien voir par son capitaine.
PRINCIPALE QUALITÉ: Intelligente – Discrète – Courageuse - Aventurière PRINCIPALE DÉFAUT: Manipulatrice – Calculatrice – Impatiente – Gourmande
WHAT'S YOUR STORY ?
HISTOIRE:
Nous sommes en 1508, la famille Miltorpe est heureuse d’accueillir leur fille Isabella au sein du foyer. La belle enfant comble ses parents de bonheur et ils se promettent de la rendre heureuse tout au long de se vie. Isy vit dans la joie et entourée de tous ses proches, qui en sont tous fière. Brillante, mais pauvre et fille, elle n'avait pas le droit à l'éducation et à la connaissance. Curieuse par nature, elle s’intéresse aux nouvelles découvertes qui ont lieux de l’autre côté de l’Océan Atlantique, dont son père lui informait chaque soir. Bordée par mille histoires qui touchent fond des océans, elle se passionne pour le voyage et les nouveaux horizons, dont elle ne fait qu'imaginer les paysages. A l’âge de neuf ans, elle avait une imagination débordante pour s'imaginer de nouveau monde où règne la joie et la paix.
Un tableau charmant voir même, féérique. Mais qui ne pourrait pas me dire, qu’il n’y jamais aucune tâche à ces tableaux familiaux ? La mère d’Isabella attrapa la suette, elle en mourut lorsqu’Isy avait dix ans. Elle abandonna son mari et sa fille par son décès. La petite fille attristée par cette mort, se renferma sur elle-même, et ne vivait que par la lecture des documents de son père sur le nouveau monde. Rêveuse de quitter sa ville natale pour pouvoir s’échapper dans un autre monde qui n’était pas le sien.
La petite demoiselle ne se douta pas que le malheur de la mort de sa mère, se ferait suivre par l’arrivée d’une femme cruelle envers elle. Cette dernière charma monsieur Miltorpe et joua les femmes aimantes des enfants. Le père d’Isy noyée par le chagrin, fut naïf de croire à la bonté de Mademoiselle Berrier. Il n’avait fallu que quelques mois à monsieur Miltorpe pour demandé la main de cette femme aux airs de belle-mère parfaite.
Lorsque que le père d’Isabella était absent, Madame Miltorpe battait sa belle fille pour des raisons insignifiantes. Elle eut alors la joie de goûter à la rancœur d’Isy. La petite enfant allait dans les placards de sa belle mère pour déchirer ses robes, les couper aux ciseaux, mettait une énorme dose de sel dans les plats que mangeait l’horrible femme à sa table, lui lançait le chat à la figure avec les griffes sorties. Elle en fut toujours punie mais continuait pour pourrir la vie de cette mégère qui avait osé remplacer sa mère dans le cœur de son père.
Comme toutes les jeunes femmes de seize ans, Isabella était contrainte de se marier et ce fut la nouvelle Madame Miltorpe qui choisit le mari de sa belle fille : Paul Berrier. Il était son neveu et elle avait réussi à convaincre son mari qu’il se serait le gendre idéal. Mais comme sa tante, Paul était cruel envers Isy. Il la battait avec brutalité et ça, sans aucune raison. Sa femme se promit de se venger quoique ça puisse lui couter et dès que l’occasion se présenterait.
En grandissant, la rancœur envers sa belle mère et son mari grandit jusqu’à en devenir de la haine. Elle avait bien pensé à leur ôter la vie, mais elle ne pus jamais s’y résoudre car elle avait peur de voir son père de nouveau attristé par la mort de sa seconde femme et de son gendre, peu parfait. Elle continuait donc à en faire voir de toutes les couleurs à Madame Miltorpe et parfois à Paul lorsque son père était absent, et ces derniers rendaient bien la pareille.
Jeune femme intelligente, elle faisait des coups bien plus odieux que dans son enfance, elle faisait tourner des rumeurs aux sujets de sa belle mère dans son quartier, elle l’enfermait dans son jardin par « inadvertance » par temps chaud et sec. Malgré sa vingtaine d’année, elle se faisait toujours battre par sa belle mère et n’en avait jamais parlé à son père pour lui éviter les peines que ça engendrerait. Elle se taisait face à lui mais disait les quatre vérités à la femme qui partageait son toit et qui n’avait jamais eu le droit au mot « maman ».
Isabella avait vingt-six ans (1534) alors que son père reçu la lettre d’un grand marin pour l’avoir comme matelot sur son navire. Ne voulant être seule avec sa belle mère, elle supplia son père de la laisser venir avec lui. Malheureusement, à cette époque les femmes n’étaient pas tolérée sur les bateaux, elles porteraient malheur lors des traversées en haute mer. Son père refusa catégoriquement de voir sa fille sur un navire qui faisait un voyage si long, c’était pour sa sécurité et également pour les règles sur les navires des grands expéditeurs. Et pourtant, cela n’empêcha Isabella de réussir à suivre son père…
Mais ce fut là, l’occasion tant attendu pour tuer son mari. Bête comme il était, ne verrait sans doute rien venir, et même s’il le voyait, il serait déjà trop tard pour qu’il puisse sauver sa misérable vie. Le tuer par arme à feu ne serait pas discret… Il serait sans doute préférable de le tuer par empoisonnement. Elle devait faire la cuisine, elle le tuerait donc en mettant du muguet dans la soupe du pauvre Paul… Après cela, il devrait mourir quand Isabella serait sur le bateau avec son père. Elle avait déjà trouvé une solution pour être sur le navire vers les grands océans du monde.
Monsieur Miltorpe devait partir à l’aube, et ce fut à minuit qu’Isy mit son plan en œuvre pour quitter sa demeure où vivait sa belle-mère. Les douze coups de minuit retentir, la jeune femme se leva doucement et quitta sa chambre pour gagner celle de son père. Sur des pas aussi silencieux que celui d’un chat, elle ouvrit la porte qui menait à la chambre de monsieur Miltorpe. Ouvrant doucement le placard, elle lui déroba quelques vêtements masculins pour s’y glisser. Vêtu comme un homme, elle prit également un chapeau pour y cacher ses longs cheveux. Elle quitta ainsi sa demeure sans laisser le moindre mot à sa belle mère ou même son père.
Le soleil commençait à se dresser dans le ciel, les matelots engagés pour le voyage se réunissaient devant de grandes caravelles pour pouvoir embarquer. Pour pouvoir mettre les pieds sur l’un des navires, Isabella vola avec discrétion les papiers d’un marin pour avoir l’ordre de faire parti du voyage vers les nouvelles terres. Une fois que les bateaux eurent quitté le port de St Malo, Isabella était bien soulagée de ne pas s’être fait prise, mais elle ignorait les ennuis qui l’attendaient…
Etant déguisée comme un homme, elle était considérée comme tel. Elle fit toutes les corvées qu’on lui donnait sans broncher, sans exprimer sa faiblesse comparer aux autres membres de l’équipage. Une semaine ne s’étaient pas encoure écoulée qu’elle voulait quitter son calvaire pour regagner, celui qu’elle connaissait à Rennes avec sa belle mère. Elle était assise sur une marche menant aux calles, qu’elle entendit une voix lui demander si elle allait bien. En se redressant, elle fut face à son père qui la reconnut immédiatement. Il lui attrapa les bras et la mena à un lieu quasi désert du bateau. Il fit la morale, lui expliqua tous les dangers qu’elle risquait. Isabella n’en était pas fière de son aventure mais elle répondit à toutes les remarques de son père, qu’elle voulait être avec lui et non Madame Miltorpe, qu’elle préférait faire tout le travail d’un homme plutôt qu’être loin de lui. Il la prit dans ses bras et ils se promirent de veiller l’un sur l’autre lors de son long voyage.
Tout l’équipage était sur le pont entrain de l’astiquer lorsque la voix d’un second du capitaine hurla qu’il voyait un bateau. Elle regarda vers l’horizon et vit un énorme navire avec de grandes voiles sombres avec une tête de mort. Son père lui demanda alors de courir vers les calles où étaient les vivre pour se cacher. Elle lui dit qu’elle devait veiller sur lui comme ils se l’étaient promis mais elle finit par céder, lorsque son père lui expliqua qu’il ne voulait voir périr sa fille sous ses yeux.
Cachée derrière la nourriture et le reste de vin, elle entendit les tintements des épées, parfois le bruit des fusils tirer et le cri de l’équipage qui périssait petit à petit. Elle se sentit alors coupable, le mythe sur les femmes à bord des bateaux était peut être vrai. C’était peut être elle qui avait attiré ses pirates à bord de ce navire, là où était son père. Allait-il survivre ? C’était la question qui l’obsédait.
Après ces bruits de bataille, il y eut un long silence, un silence pesant qui semblait durer des heures. Soudainement, elle entendit des bruits de pas s’approcher de la calle où elle se trouvait. Elle fit silence et attendait que les choses se déroulent. La porte s’ouvrit avec violence et elle ne put retenir un petit cri de peur. Elle sentit une main se poser sur son épaule et la tirer hors de sa cachette. Un homme la traina jusqu’au pont et la jeta avec brutalité au sol. Le chapeau d’Isabella tomba et sa longue chevelure fit découvrir au capitaine pirate qu’elle était une femme.
Mise au fer pendant plusieurs jours, elle fut nourrie par le capitaine qui lui apportait une gamelle peut riche en aliment comestible pour la jeune femme. Chaque jour, il descendait pour lui rendre visite et lui parler. Doucement, elle s’habituait à cette visite quotidienne, qu’elle prenait au départ pour de la moquerie pure et dure. Elle se sentait animal à être observer derrière des barreaux.
Au bout de quelques semaines en cage, le capitaine James la laissa sortir de sa prison. En montant sur le pont, elle fut dévisagée par tous les membres de l’équipage. Isabella eut alors des explications sur le navire sur lequel elle avait mis les pieds par son nouveau capitaine. Celui-ci se montra bien gentil à son égard, elle trouva cette attitude de pirate bien étrange. Elle finit par demandé à James s’il avait tué son père, il lui répondit qu’il avait tué tout l’équipage qui se trouvait sur le bateau qui allait vers le nouveau monde. Isabella tomba alors à genoux et versa toutes les larmes de son corps. Après cela, le capitaine la remis en cage, apparemment il ne supportait pas les pleures.
Tout redevint comme la veille, il ne la laissa pas sortir mais la nourrissait avec les pauvres souris qu’il trouvait sur son navire, et se remit à lui parler comme si de rien n’était. Elle lui demanda bien sûr pourquoi il ne l’avait pas tuée, il donnait pour réponse le fait qu’elle était une femme et rien d’autre. Et ces visites continuèrent, chaque jour à la même heure, la capitaine ne s’en laçait pas. Il revenait, questionnait Isy sur sa vie sur la terre ferme, elle ne lui cachait rien, elle avait tout perdu et savait qu’elle était condamner à mourir le jour où, James s’ennuierait d’elle.
A chacune des visites, le capitaine semblait plus tendre mais il ne se résolut jamais à laisser Isabella sortir de nouveau. Mais elle se fichait de pouvoir sortir, elle s’était habituée à être en cage et ce n’était pas si inconfortable que ça. Elle était nourrie et ne faisait aucune corvée, elle mangeait mal, mais mangeait quand même. Par sa tendresse, James montra qu’il avait des sentiments et Isabella comptait en profiter à son avantage…
La prisonnière comprit bien vite que la seule présence féminine sur ce bord, avec poussé le capitaine à tomber sous son charme, tomber dans son malheur passé. Pour recouvré la liberté, elle essayait de le manipuler pour pouvoir quitter sa cage. Elle ne trouvait pas cela très agréable mais vivable, elle avait envie de revoir les mers et de quitter les calles vides. Elle fit mine de l’aimer également, de réclamer d’être dans ses bras. James finit par la faire sortir et ne plus jamais la mettre en cage comme en animal.
Isabella était chaque jour au bras du capitaine, elle fut passionnée par toutes les histoires qui lui racontaient sur ses pirateries sur de magnifiques navires. Elle fut tout de même curieuse de savoir combien de temps il était sur les mers, car il n’avait pas l’air bien vieux. Sa réponse coupa le souffle d’Isy, ça faisait un demi-siècle qu’il était capitaine sur ce navire. Elle lui demanda comment cela était possible et sa réponse arrêta immédiatement la jeune femme qui s’écarta de James. Il était un vampire… Ce n’était que des légendes urbaines pourtant ! Elle ne pouvait pas y croire. Le capitaine précisa ensuite, qu’elle avait à présent le choix entre la mort et l’éternité. Sa réflexion fut longue et délicate, mais sa réponse fut prise…
Il faisait nuit, le ciel était aussi sombre que les ténèbres, aucune étoile ne brillait dans le ciel. Isabella était assise prêt d’une fenêtre de la cabine du capitaine. Celui-ci était assis prêt d’elle, il avait un verre à la main et un couteau dans l’autre. Il donna son verre à la jeune femme qui était en sa compagnie et se coupa la paume de la main et laissa couler le sang dans le verre à pied. James demanda à Isy si elle était sûre de son choix, elle l’affirma avec motivation et attrapa la verra avec rapidité et le vida entièrement. James caressa doucement la joue d’Isabella avant de lui planté son couteau en plein cœur. Elle en mourut sur le coup, son dernier souffle venait de s’échapper.
Elle ouvrit doucement les yeux, elle était en cage. Elle se demanda si tout n’avait pas été un rêve, si toutes ses semaines aux bras de James n’avait pas été que son imagination. Il était d’ailleurs à côté d’elle et ne la regardait avec douceur et tendresse. Il lui demanda de regarder sur sa gauche et elle le fit. A ses côtés se trouvaient un matelot qui la regardait avec terreur et la supplia de ne pas le tuer. Elle savait ce qu’il fallait faire pour achever sa mutation. Elle avança doucement vers le pauvre marin qui ne bougeait pas malgré la terreur qui régnait dans son regard. Isabella planta alors ses dents dans son cou et but le sang du matelot sans remord, elle le vida entièrement de sang. Lorsqu’elle termina son repas, elle sentit une vive douleur lui saisir les gencives, à cela, elle chercha le réconfort en regardant son capitaine qui souriait. Après cela, il vint lui ouvrir de nouveau sa prison et la prit dans ses bras tout en lui expliquant qu’ils étaient enfin unis pour l’éternité. Le pauvre vampire ignorait qu’il s’était fait piéger par Isy, elle avait réussi à survivre et en plus, elle avait l’immortalité. Par la suite, James lui offrit une dague décorée de rubis, et lui expliquait que les pierres précieuses avaient été ensorcelées par le sorcier qui offrait ses services contre la protection du capitaine vampire. Il rajouta que si elle se séparait du poignard, elle se serait brûler par les rayons du soleil. Elle gardait donc sa dague sur elle à chaque instant de son éternité.
Durant environ deux siècles, James et Isabella étaient capitaines de leur navire, piratant tous bateaux qu’ils croisaient, découvrant de nouvelles marchandises, en somme ils étaient très heureux, même si James ignorait qu’il était juste le pantin de sa douce. Il naviguait comme les pire pirates des océans et pillant tous les trésors ! Ce fut là une belle éternité jusqu’au jour où, ils attaquèrent un bateau anglais à la fin du dix-septième siècle. Ils firent comme toujours, un massacre mais… Laissèrent pourtant un marin en vie. Celui-ci était un sorcier et ayant perdu le leur parce qu’il avait vieilli, ils le mirent au fer jusqu’au moment où il céda et promit de servir le bateau jusqu’à sa mort. Ce sorcier au prénom de Joshamme, sembla également attiré par la beauté d’Isy mais elle l’ignorait et se montrait parfois méchante à son égard. Elle le faisait simplement pour ne pas attirer la jalousie de James, elle le voulait entièrement à son service pour pouvoir, faire ce qu’elle désirait.
Mais Isabella en avait assez de vivre sur un bateau, elle voulait regagner la terre ferme mais James affirmait que sa vie était en mer et non sur le continent. La belle femme finit par monter un plan pour fuir cette vie maritime pour accéder aux Amériques. Lors d’un abordage de d’un navire, elle expliqua à James qu’elle ne souhaitait pas piller, elle était dans un mauvais jour, il l’embrasse et partit dérober les richesses du bateau. Isy observait la scène sur le pont et attendait le moment crucial pour pouvoir s’échapper. Elle vit alors le sorcier Joshamme et le supplia de ne jamais en parler au capitaine James. Il lui demanda de quoi elle parlait et elle sauta à l’eau.
Lorsque James regagna son navire et s’éloignait de celui qu’il avait pillé, Isabella tenta de monter sur celui-ci. Elle était restée à l’eau le temps qu’il s’en aille pour prendre possession du bateau ennemi. Une fois sur celui-ci, elle déroula une carte qu’elle avait dérobée à James et fit cape vers l’Amérique sans jamais croisé son capitaine. Elle lui devait beaucoup mais elle était persuadée qu’il oublierait et qu’il rencontrerait une autre femme à son goût.
Les choses avaient évoluées pour Isabella, à présent elle n’était plus une voleuse en mer mais sur terre. Elle volait aussi bien les richesses que les vies, elle voulait les connaissances des livres car elle n’y avait pas eu le droit pendant sa vie humaine, elle apprenait tout ce qu’elle pouvait sans jamais se laser. Elle quittait les villes, les regagnait sans jamais s’attacher à quiconque. Au bout de trois siècles de vagabondage, elle finit par vouloir se poser et vivre comme elle avait vécu auparavant. Elle avait effacé le nom Berrier de sa vie pour retrouver celui de Miltorpe, elle ne voulait aucun souvenir de cette famille. Elle avait quitté la France pour ne plus jamais y repensé. Elle voulait refaire sa vie aux Etats-Unis et la rencontre avec un jeune vampire l’avait attiré dans une ville au nom de Mystic Falls dans l’était de Virginie. Elle avait sympathisé avec le vampire qu’il lui avait volé l’un de ses repas, mais ils restèrent bons amis. Maintenant qu’il est de retour dans sa ville de naissance, Isabella souhaite lui rendre une petite visite.
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Pourquoi vouloir être vampire/sorcier/loup-garou? Et bien tout simplement parce que ma petite Elodie se fait marcher sur les pieds par tout le monde >< ! Alors maintenant, je suis la plus forte du forum xD ! Mouahaha ! Non, je plaisante essayons d’être sérieux deux minutes.
Je voulais bien m’essayer à jouer les vampires, et puis finalement autant faire un vampire maintenant que plus tard, puisqu’il y en aura toujours plus donc, je veux bien en faire un =p Et j’essaye d’innovée avec ma vampirette qui a été pirate ! Ça change d’histoire ^^. Et c’est toujours intéressant de jouer un vampire quand on joue déjà un ennemi de vampire On a ainsi, le point de vu des deux « camps ».
BEHIND THE COMPUTER
Mushu
| | Prénom/Pseudo : Mushu Age: 16ans Comment avez-vous découvert le forum? Je joue Elodie Lee Quel est votre niveau de RP? Tout dépend des jours =p Exemple de RP :
- Spoiler:
Dix-sept heures sonnaient, je descendis à la cave pour aller chercher le repas de ma Poupoune. En descendant, la jeune servante dans sa cage hurla et secoua sa prison, le bruit métallique résonna dans toute la pièce sombre. Je descendis calmement les marches et partis voir la petite fillette blonde aux yeux bleus. Je passais doucement ma main dans sa cage et elle cria de plus belle. Je lui attrapais alors vivement le bras et sortir sa main de sa cage entre deux barreaux. Alice essaya alors de retirer sa main en pleurant mais sa force était quasi innexistante. Je sortis ma baguette et la pointa vers un doigt de la petite :
- Diffindo !
Elle hurla de douleur lorsque son petit doigt tomba au sol, je lui lâchai la main et lui ordonnai de se taire si elle ne voulait pas perdre sa main entière. Je ramassai ensuite son doigt et le fourrais dans une petite sacoche que je portais. La cave retrouva son silence habituel, qui était parfois interrompu par les reniflements de la gamine. Je me dirigeai vers le fond de la cave, il y avait des cadavres de moldus. Je cherchais un torse qui n’était pas encore ouvert. Je vis alors celui de jeune femme à la chevelure rousse, je sortis donc mon poignard qui était dans ma botte et ouvrit le corps en deux avant de plonger ma main dans celui-ci à la recherche du cœur qui avait cessé de battre depuis quelque jour déjà. Une fois cet organe entre mes doigts, je le pris, remontai et allai à la cuisine.
Je sortis une planche pour découper le cœur et vis que mes mains étaient pleines de sang, j’en avais presque jusqu’au coude. Je soupirai et me décidai de les nettoyer une fois que j’aurais terminé le repas de mon kelpy. Je découpais tranquillement les veines et les artères qui dépassaient, je me tachais un peu plus mais n’y fis guère attention. Lorsque que le cœur fut débarrassé de ces imperfections veineuses, je le mis dans ma sacoche et me préparais à sortir les mains toujours pleines de sang, mais je n’eus pas le temps d’ouvrir la porte que j’entendis une personne m’appeler… M’appeler par mon surnom. Cela me mit alors dans une colère noire ! Personne n’avait le droit de m’appeler ainsi ! Sauf mes sœurs ! Je transplanais hors de ma maison et réapparus près de la personne qui avait osé m’appeler par mon diminutif. Ce n’était autre que cette abrutie de sangsue ! Il était en compagnie de jeune homme que je trouvais un peu maigrichon…
- Sale buveur de sang ! Comment as-tu osé m’appeler « Isy » ?!
Il me regarda avec un sourire et me répondit qu’il fallait qu’il trouve une solution pour me faire sortir de ma demeure sans se faire manger par les plantes. Je lui lançai un regard aussi sombre que les enfers et lui demandai ce qu’il me voulait. Il m’annonça alors que le seigneur des ténèbres me confiait une mission : celle de garder le jeune Matthew Lasthénie durant un certain moment.
- Quoi ?! Mais je n’en veux pas de ce gosse moi !
Il haussa les épaules et poussa doucement les garçons vers moi. Je me penchais pour attraper ma dague à ma botte pour la lancer vers lui. Mais lorsque mon poignard volait vers lui, Dimitri transplana et il tomba là où était auparavant le vampire. Je poussai alors un hurlement aigu pour exprimer ma colère. Je fis revenir mon arme par un sort d’accio et regardais Matthew avec un regard assassin. Je soupirais et ouvris le portail avec un geste de la main. Je l’invitais à rentrer et il passa devant. Je refermais le portail et je pus entendre le grognement des plantes de Kate.
- Morticus, Morticia couchez ! Ordonnai-je.
Les deux fleurs couinèrent et laissèrent place. Je les regardais du coin de l’œil et demandai à l’inviter d’avancer. Son visage était sans expression et il faisait ce que je lui demandai. IL se dirigea alors vers le manoir et je l’arrêtai immédiatement.
- Pas tout de suite, je dois d’abord aller nourrir Poupounette.
Je tendis mon bras plein de sang vers le marais et lui dis que nous devions d’abord aller là bas. Il ne dit rien et me suivit silencieusement. Malgré les talons hauts que j’avais, je ne m’enfonçais pas dans ce sol boueux, cela faisait déjà bien longtemps que j’avais jeté un sort à mes chaussures pour éviter de les enfoncer, c’était plutôt pratique. Je me tournais ensuite vers Matthew et lui demandai de rester derrière et de ne jamais passer devant moi, sauf s’il voulait mourir, il hocha simplement la tête. Je m’avançais vers le bord du marais.
- Poupoune ! C’est l’heure de manger ma grande, viens ma chérie.
Mon kelpy sortit alors de l’eau et se dirigea vers moi avec rapidité. Je lui caressai doucement l’encolure et sortis de la sacoche le cœur que je lui avais préparé avec soin. Matthew demanda alors s’il s’agissait d’un cœur de bœuf. Tiens ! Il savait parler ! Il en avait pris du temps pour dire quelque chose… Malheureusement, quelque chose de très bête.
- Bien sûr que non ! Je ne donne pas de la nourriture pour chien à Poupounette ! C’est un cœur humain voyons !
Je soupirai et attendis que le kelpy à la robe de jais ne finisse le cœur humain. Lorsqu’elle termina, je sortis le petit doigt d’Alice et dis à Poupoune qu’il s’agissait d’un bonus. Elle le prit et repartit au fond de son marais. Je souris et puis me retournais vers le garçon en effaçant mon sourire. Je lui fis signe de faire demi tour et de se diriger vers le manoir. Il avançait doucement et je lui demandai d’aller plus vite car je voulais aller me laver les mains, il accéléra un peu.
Une fois devant le manoir, j’ouvris la porte et le fis entrer. Jéléna devait être avec Némésis et Kate dans sa chambre. Je me mis devant Matthew et lui demandai de me suivre, je montais jusqu’au dernier étage et lorsque je franchis la dernière marche, j’entendis le hurlement strident de ma jeune sœur. Heureusement que j’avais jeté un sort pour pas qu’on l’entende dans les autres étages… Je toquai à la porte, l'ouvris et vis Kate jouer avec des poupées.
- Kate, ça suffit maintenant. Dis-je d’une voix douce, presque maternelle.
Elle se retourna et me regarda avec un petit sourire enfantin. Elle me demanda gentiment ce que je voulais, je lui souris à mon tour et lui demanda de faire faire le tour de la propriété à notre invité. Elle se leva et vint vers nous, je lui demandai également :
- Fait sortir la chose de la cave, il fait qu’elle fasse la cuisine, je dois aller me laver les mains. Tu prendrais quelque chose pour Morticus et Morticia en même temps, d’accord mon ange ?
Elle répondit et descendit les escaliers avec le sorcier. Je les suivis doucement et partis me laver les mains dans la cuisine. Je me frottais les mains jusqu’à ce que j’entende de nouveau Alice pleurer. Je me dirigeai vers le haut de l’escalier qui menait à la cave et écoutait ce qui se passait. La petite moldu voulait retrouver ses parents, mais elle était déjà avec eux. Je laissais alors échapper un petit rire et dis d’un ton joyeux :
- Regarde sur ta droite ma petite Alice.
En voyant la tête décapité de ses parents, l’enfant hurla et Kate me l’emmena. Il fallait encore que je la punisse… Quel doigt allai-je encore devoir lui enlever ? Bon… ça serait l’oreille cette fois ! Elle avait besoin de tous ses autres doigts pour faire la cuisine. Une fois sortit de la cave, Kate vint à ma hauteur avec Matthew légèrement en retrait. Je souris à ma sœur et lui rappelai doucement :
- N’oublie pas les dîner des tes plantes et fait lui faire tout le tour de la maison, il ne faudrait pas qu’il se fasse tuer dès son premier jour.
Je lui tournai le dos et punis la petite fille avant de lui ordonner de faire la cuisine. Ma sœur et le garçon sortirent alors de la cuisine. Acceptez-vous la reprise de votre personnage ? (Cf. Là) Code règlement:
- Spoiler:
Vampire can’t procreate but we love to try Que pensez-vous du forum ? Toujours aussi bien ^^ Un dernier mot pour la fin ? Attention ! Je pourrais bien vous croquer à pleine dents x)
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Dernière édition par Isabella Miltorpe le Mer 8 Juin - 17:28, édité 3 fois
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